Zarboth
Etienne Gaillochet : chant, batterie, pad
Phil Reptil : guitare
Zazou, zèbre, zarzuella, Zappa, Zorn, Zardi, zèle, zéro, zombie, zig zag, Zorglub, Zurlini, Zimmermann, zigouille, Zig et Puce, zen, zétète, Zuni, zizique... les noms commençant par la lettre z ne sont pas légions (donc d'un bon rapport au scrabble) et portent immanquablement un bonne dose de singularité sinon de mystère. C'est bien la seule règle à laquelle Zarboth n'échappe pas.
Le groupe naît en 2007 lors d'un stage réunissant des enseignants en école de musique. Le courant passe entre deux d'entre eux : Étienne Gaillochet et Phil Reptil. Après un petit cordial au bistrot le plus proche, direction le studio de répétition. Un morceau naît dans la foulée ("Hear me there"). En quelques mois, ils enregistrent huit morceaux en vue d'une démo. La démo devient premier album chez Head records. Les concerts suivent comme le marquant passage au festival Zappanale en Poméranie Occidentale (auquel participe également We Insist!, autre groupe où figure Étienne Gaillochet).
En 2011, ils se remettent à l'ouvrage avec quelques invités pour un second album portant le nom d'une tribu indienne vivant entre Seattle et la Colombie britannique, Kwakiutls. Nosfell (chant), Pierre le Bourgeois (violoncelle), Cyrille Méchin (saxophone baryton) sont dans le coup. Le disque sort chez Muséa.
Fréquenté dans Maison Maquets, le slammer irlandais (mais aussi trompettiste et illustrateur) Macdara Smith est invité pour un troisième album There's No Devils At All, it's Just the System qui sort en novembre 2015. C'est une rencontre lors d'un concert de ma Colère de D' de Kabal et Ill Chemistry à Argenteuil qui décide en quelque sorte de la sortie de ce disque chez Wan+Wan.
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